L’Oiseau de feu de Stravinsky déployait ses ailes le jour suivant la naissance en juin 1910 de la marque Alfa, comme dans un recueil « Contes et légendes pour le siècle à venir » où l’on irait puiser autant de symboles nécessaires à l’affirmation d’une aventure digne d’une époque de conquérants. Car l’histoire de l’automobile est indissociable de l’esprit d’aventure, de la passion et de la folie des hommes qui, contrairement à notre époque sécurisée à outrance, voulaient toujours plus, toujours mieux.
Une troisième Giulietta
Cette version 2010 de la Giulietta est en fait la troisième après celle de 1954 qui symbolisa le glamour, et celle plus pragmatique de 1977. Elle est pour la marque un produit totalement inédit avec, entre autres, une nouvelle plate-forme, une auto qui étoffe la gamme au-dessus de MiTo, produit conquérant. Et ce nouvel « Oiseau de Feu » peut-être rouge flamboyant comme une 8C, a les atouts pour séduire : design Alfa sportif et dynamique, des performances dignes des gènes du Serpent des Visconti, notamment avec les versions 170 chevaux, sans oublier le confort et la séduction d’un habitacle qui doit avoir des relations intimes avec la « Dolce Vita ».
Cinq moteurs pour le lancement, de 105 à 170 chevaux en JTDm, et de 120 à 235 chevaux en essence, car dès l’été une version TBi enrichira l’offre Giulietta.
A noter que la version diesel de 105 chevaux affiche 4,4 l/100 km en cycle mixte et 114 g/km de CO². 4,35 mètres de long, un coffre de 350 litres, un style dans la logique de MiTo mais en 5 portes, des équipements performants et une auto 100% nouvelle, Giulietta fête dignement cent ans de passion dévorante.
Tarifs, de 21.500 à 32.500 €
L'essai en vidéo :
LE CHRONIQUEUR
Les Commentaires