C’est dans la vallée du Douro, au milieu des vignobles de Porto et des orangers, que nous avons découvert le charme provocateur de la nouvelle star de la Fiat, la 500, en version cabriolet, un piège à filles redoutable, même au pays des grands explorateurs, du Fado et de la lavande papillon ou rosmaninho.
« 500 découvrable »
La commémo n’est pas achevée. Hommage à la 500 des années 50 avec la berline dont 360.000 exemplaires ont été vendus depuis l’été 2007 (dont 40.000 en France), hommage à la 500 découvrable de 1957 avec cette « C » dont la capote en toile répond au doigt et au bouton électriquement pour dévoiler l’intimité de la petite italienne - et du ciel - en quelques secondes.
Sur le marché du petit cabriolet, la Fiat 500 C veut aller au-delà du phénomène du mythe pour s’imposer comme une véritable alternative dont les atouts majeurs sont le look bien sûr, le côté pratique, et un indéniable sens des affaires avec une offre moteur qui débute à 110 g/km de rejets de CO². Comme quoi on peut être élégant et à la mode tout en étant écolo ! Mais le revers du mythe reste quand même une addition légèrement salée : de 14.200 à 20.500 €.
Le look, on le connaît depuis la sortie de la 500, il est indéniablement craquant. Alors avec un toit qui s’en va vers le coffre et vous met le ciel sans intermédiaire au-dessus de la mèche, y’a pas mieux. Le côté pratique, on l’a vu, c’est une capote qui s’ouvre en deux fois (avec des arches fixes) et un habitacle identique à la berline. Quant au sens des affaires, c’est de pouvoir se glisser sur le programme du bonus avec un cabriolet grâce aux moteurs 1.3 Multijet de 75 ch et 1.2 l essence de 69 ch (le 3e étant le 1.4 l de 100 ch).
« Le bonheur en version originale » nous prévient Fiat, c’est bon on prend, on va juste se mettre à l’italien pour tout comprendre…
LE CHRONIQUEUR
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