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: Du nouveau sur le Suaire de Turin
Ce titre qui peut surprendre est celui de l’étude que j’ai publiée en 2001. Elle est la toute première au monde – et certainement la seule – à avoir mis l’accent sur une particularité absolument unique dans l’histoire humaine révélée par l’effigie miraculeusement laissée au genre humain (tout essai d’explication naturelle de son existence aboutissait à l’échec) par le Verbe Incarné lors de son court séjour au tombeau : l’absence du nombril, qui est une réalité objective discrète et pourtant flagrante apte à lever ce qu’il est connu d’appeler le « Mystère du Saint Suaire », raison pourquoi notre exposé avait été déposé dès 2001 à l’Académie des Sciences.
En effet, il ne peut y avoir de « nouveau » sur l’ineffable document laissé à l’humanité par le plus important de tous les personnages ayant marqué son histoire que ce que l’on n’a pas encore consenti à y apercevoir, cependant que depuis bien plus d’un siècle désormais, précisément depuis la bouleversante photographie du chevalier Pia de 1898, il est soumis aux investigations les plus fines, les plus assidues, les plus passionnées, et bien sûr les plus controversées étant donnés les énormes intérêts politico-philosophiques, et les considérables profits des appareils humains ainsi remis en cause.
Mais nous voici bien entrés dans le 3e millénaire où, selon les Ecritures recoupées et actualisées par les prophéties, doit très tôt se placer le retour annoncé du Christ, un événement immense, impossible dans le cadre des lois de la nature, et signant alors de ce fait l’authenticité de sa qualité de Verbe Incarné, et où dès lors le genre humain a moins que jamais temps et vertu à consacrer sans progrès à des croyances et spéculations contradictoires concernant ses propres destinées et son propre sens. Il va devoir au contraire rapidement s’appliquer à la quête d’objectives certitudes à cet égard, sauf à sombrer dans la dégénérescence, déjà gravement amorcée partout dans le monde.