Albi, sa cathédrale Sainte-Cécile, large vaisseau de briques semblant narguer les eaux boueuses du Tarn et son altière forteresse de briques, le Palais de la Berbie qui abrite un célèbre musée devant accueillir prochainement une exposition Monet. Mais en ce matin d’avril 1975, tout semble compromis, car bien que réputée inviolable, deux toiles de Toulouse-Lautrec y ont été subtilisées. Le système d’alarme ne s’étant pas déclenché, y aurait-il eu négligence ou complicité ? Appelé en renfort par le responsable du musée, Sépharin Cantarel, conservateur en chef du musée des Monuments français va prendre en charge l’affaire et nous entrainer dans une jolie promenade culturelle et gourmande.
LE CHRONIQUEUR
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